Le passé de Matthias

Hahaha! Le flashback est de retour! Tu ne peux y résister, d'ailleur il a fait un succès critique et tu as raté ton test d'esquive!

Tu monte l'escalier menant a ta superbe demeure, ignorant crânement les soupirs de fatigue de tes valets essouflés. Déjà des demoiselles de compagnie se précipitent pour vérifier que rien de fâcheux ne t'es arrivé dans les arènes. Ce sont bien sûr les nouvelles, celles qui n'ont pas encore appris a te connaître!

Sur le parapet surplombant l'escalier une silouhette masculine apparaît, tel un diable sortant de sa boîte. Ton corps frissonne en reconnaissant l'homme.

Il s'agit de Marcus Valderian, le fils d'un dignitaire ayant ses entrées auprès de membres éminents du conseil de l'empereur. Un personnage puissant, et sûrement très dangereux.

"Ha, Matthias, quel plaisir de vous voir charmant enfant!" dit-il, sardonique, négligement appuyé contre la rambarde de pierre sculptée de l'escalier. "je vois que vous revenez des arènes...c'est un passe-temps qui vous honore. Votre père doit être fier de vous. Je ne possède pas ce genre de loisirs, voyez-vous, je préfère les savantes études ainsi que la conversation charmante de votre délicieuse Mathilde" ajoute-t-il avec un sourire qui ferait passer landru pour un JO du club med.

Feignant la surprise Valderian

Vous ici !

Ma soeur se porte-elle bien, votre fils, Gontran est-il dans les parages, nous devions sortir, une fois mon combat achevé.

Sur un ton mielleux et aussi sournois que Marcus, en y ajoutant un brin d'ironie

"Belle bête que votre Gadhar, mais à la fin il a manqué d'un peu de vigueur, surtout lorsque la foule réclama un petit extra. Ce n'est pas tout les jours qu'on blanchi la face nord d'un bois d'ébène. Enfin ! "

Faussement désolé

"Il a fait ce qu'il a put, désolé de vous avoir navré si belle bête, j'ai tenu à vous rapporter moi même mon... trophée."

Dans une boîte en carton/papier épais multicolore, ces boîte à chapeau dont raffolé Mathilde gît le trogne du gadhar de Marcus. I lfait signe à u nde ses esclaves de lui apporter. Il conclut

"A tant que j'y pense : La foule a scandé votre nom... pendant la mise à mort."

Matthias était du genre crâneur, pas se laisser faire, lorsqu'il perdait le contrôle de la situation, il lui fallait revenir et vaincre, contre le sang de ses illustres ancêtres le voulait, et ce n'était assurément pas un Valderian, un demi vorozion mâtiné de batronoban et coloré de Thunk, un alweg qui se prenait pour un derigion qui allait le contredire. Il monte et se porte au niveau de Marcus, les muscles saillant du jeune noble et le regard dédaigneux qu'il adresse au parvenu en goguette ne laisse pas traîner le doute sur ce qu'il pense de la famille

"J'ai pris la peine de le rendre présentable afin que vous l'accrochiez au dessus de votre cheminée, à côté du thunk de la semaine dernière et du (lentement, très lentement) v...o...r..o...z...i...o...n d'il y a trois semaines (le dit vorozion était en fait un noble de la ville d'Inac, d'ascendance dérigion et apparenté à la famille de Valderian, bie nsûr MAtthias le défia par pur plaisir), sans doute votre plus belle pièce.

Le visage de Marcus se colore immédiatement de pourpre sous l'effet de la colère. Il pose la main sur la garde de la rapière qui pend a son ceinturon. Etrangement sa colère semble affluer et refluer telle la mer sur une plage.

"Un vo-vorozion? Un vorozion! Et alors, espèce de petit con dégénéré; est ce que l'identité des gladiateurs importe, hein?!! Tu es toi-toi même négliageable, insi-signifiant tueur de pacotille! Tu crois que le sang de vieillards morts depuis des siècles te donne le droit de-de m'insusulter! D'ailleur, quand il giclera dans l'a-arène ton putain de sang, on verra qui restera avec Mathilde!"


Marcus ne se contrôle pas, mais tu ne sais pas si dans sa colère il osera franchir le cap de la violence.

Tu peux agir normalement ou préparer une manoeuvre de combat si tu doute de son sang-froid. Tu peux choisir l'arme que tu tiens en main, de préférence une arme exotique.

Matthias goguenard, se place en garde, une targe sur un bras, d'ailleur le bras gauche, lequel est à ce propos armuré (compté une maille plus plaque), ainsi que ses jambes, sur lesquels remontent des cnéides. Son bras droit porte un falchion (une sorte de sabre antique : initiative -2, dommage G)

"Fais attention cet objet est tranchant, tu risques de te blesser, ce serait dommage pour ta liquette. Je promet de transmettre à ma soeur la partie la moins déplaisante de ton anatomie de semi VO.VOROZION, tes couilles. Elle me les cuisinera en quenelle. J'aurai ainsi un arrière goût de son quotidien"

Option de combat : attaque brutale, j'utilise pour en finir vite avec l'impétrant le 10

Je te laisse le soin de déterminer la localisation donc dommage J (35 de base) rang d'initiative 4 plus localisation je fais comme toi : Torse abdomen +1 col de dommage, tête +2 col de dommage.

1ère série: 26, 87, 52, 36, 10, 78, 46, 68, 91, 35

Avec surprise, tu peux constater que le jeune noble en fureur ne fait pas d'attaque brutale! Il ne dégaine même pas son arme, tout ce qu'il voulait était de te frapper vicieusement au ventre avec le pommeau lourd de son arme.

Attaque rapide

Admin a effectué 1 lancé(s) d'un 100 :

79

premier jet: 3, réussi, il te touche a l'abdomen.

Il t'inflige 2 points de dommages, un coup vicieux et douloureux .


Tu contre-attaque avec un moulinet de tout le poids de ton fauchon qui brise le crâne de Marcus. Tu es éclaboussé par le sang et les méninges du jeune noble tandis que sa cervelle lui coule par les oreilles.

Ses yeux s'exorbitent et tombent dans la marre de sang a tes pieds; une sorcière Alweg y aurait vu un mauvais présage...

Il faut quand même que je le dise : espèce de pourris !

La maisonnée est alertée et tes parents arrivent, le pauvre esclave est mis à mort sans coup férir parce qu’on ne veut pas prendre de risques avec un fou furieux !

Reste qu’une partie de la maisonnée n’a pas été dupe de ton stratagème. Tes parents ont peut-être compris, mais ne sont pas assez stupides pour ne pas saisir l’opportunité de se débarrasser du fils d’un rival sans se salir les mains. Officiellement, pour Pôle, la mort de Marcus est un accident dû à un esclave timbré.

Juste après le meurtre, tu montes à l’étage, devant la chambre de ta sœur qui a été la seule à ne pas venir voir l’incident. En ouvrant sa porte, une douce fragrance de jasmin chatouille tes narines saturées par l’odeur du sang. Ta sœur prend un bain.

Ce genre de bain :

Matthias hèle un soigneur, lequel le rafistole sans trop lui faire mal, se déshabille, et entre peu de temps après dans l'onde claire du bain, fais quelque brasse, vérifiant au passage qu'il avait toujours pied.

"Mathilde, Marcus n'est plus... Moussa l'a tué. C'est fou ce qu'un vieux gadhar est encore capable de faire. Ca a été horrrrible, j'en suis tout retourné. Pauvre Marcus, et dire qu'il comptait tant pour toi."

Voix faussement attristée

[Matthias est-il assez décadent ]