Quartier Sang et Ceste

Pour Laeticia

Un homme à la peau d'ébène te fais face dans l'arène, il est vêtu d'une cuirasse dorée, d'une épée longue, d'un casque et d'un lourd pavoi, il s'approche de toi, un regard carnassier au fond des prunelles. Les viva d'une foule blasée, semble éclore ci et là, mais c'est pas l'enthousiasme et cela malgré l'interlude pronographique de la maison Labèse.

ton tirage, tu dois utiliser ce dernier et rayé chacun de tes choix avant de bénéficier d'un nouveau tirage. Allons y pour le destin

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L'admisnistrateur de l'arène pour pimenter le spectacle a décrété que toute les deux minutes si aucun gladiateur ne tombait, un autre arrivait en lice... Sympas et terriblement racoleur. Quelques voix amicale crie dans la foule

"Désarme là et baise la !"

D'autre

"On veut voir la queue du Gadhar, on veut voir..."

Laeticia regarde le gadhar dans les yeux. Elle tourne en faisant tourner sur lui même son trident dans ses mains. Son trident est prêt à dévier le coup de l'épée longue de l'homme du sud.

Elle tourne autour de l'arène lentement méthodiquement observant la pose du gadhar à la recherche de la faille dans la pose, gardant ses distances avec ce dernier.

Aller vient charmant alochtones

Alors que les quolibet, que les attentes du public se font plus insitantes, Laeticia qui a appris à les faires attendre profite de son trident pour charger le Gadhar. Prendre l'ascendant dès le début. Elle charge profitant de la distance qui les sépare dans l'arène pour utiliser cette vitesse pour blesser encore plus l'homme du sud.

Citation :

hj : C'est peut-être pas la bonne méthode mais on va entrer violemment dans le sujet (jet de dé : 10 AB critique en charge)

Le gadhar t'offre maladroitement la protection inefficace de son lourd pavoi. Plus rapide, tu l'empales et le soulèves du sol, les trois doigts de ton trident perforant de part en part l'abdomen du malheureux gladiateur exotique. Dans ta hargne tu l'élèves à 3 mètres du sol, faisant profitter le public d'un spectacle autre que les viva spécieux qu'ils t'avaient adressés. Les yeux vitreux de ton adversaire indique qu'il a passé l'arme à gauche. Un liquide épais se déverse le long de la hampe de ton arme en cascade carmine inondant ton bras et ton torse puissant.

+1 points de prestige

Ton combat achevé, tu es amené dans une pièce reculée pour être massé. A ta grande surprise trois gardes sont posté à l'entré, un noble dérigion, jeune et beau est en grand entretient avec le maître de l'arêne à qui tu appartiens. Ce dernier s'approche de toi et à mi voix

"Jean-Eudes de Vandelieu veux profitter de tes charmes pour la nuit, tu iras avec lui ce soir."

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Résultats :
   

Le noble t'observe, une lueur de désir brille dans ses prunelles, comme tout les dérigions tu le sais intéressé par le sexe et la luxure. Il serait prêt à se farcir un poulet pour satisfaire ses instinct de reproduction, mais là il a mieux sous la main. Il règle ton maître, le congédie et fait signe à sa suite armée de rester.

Puis il se déshabille...

"J'ai envie de vous maintenant, alors que vous êtes encore chaude des effluves du combat"

Il s'approche de toi, visiblement exité

Une préférence pour la position votre seigneurerie?

Elle glisse sa main à l'entrejambe du derigion pour masser délicatement l'appendice tendu sous l'aube du derigion. Elle sourit malicieuse. Elle s'abaisse légèrement pour laisser glisser sa langue dans le cou du derigion.

Elle murmure pour le derigion :

là tout de suite sur le sol devant les soldats?

Elle glisse dans son dos léchant toujours le lobe de son oreille et n'ayant pas cesser de masser son appendice ventral de sa main gauche. Elle glisse alors sa jambe droite autour de la hanche du derigion.

Sa seigneurie, dérigion de nature, et dûment en plus sollicité à l'endroit ou il faut, répond positivement à tes sollicitations. Il te bascule sur le sol, sa bouche hardie prend la tienne, avant de descendre le long de ton cou, ses mains expertes massent voluptueusement ta poitrine musclé (19 en force) raffermissant tes mamelons, puis sa tête plonge vers le pupitre sacré de ton entrejambe, ou il laisse traîner longuement, goulument le nestar insidieux qui s'en exale... La rose, enfin, épanouie, il s'épanche violemment en toi, devant la soldatesque visiblement en émoi. Il te retourne et poursuit le lancinant stacato de son appendice en toi. Chaque coup de rein provoquant une nouvelle sensation, un nouvel extase. Sa respiration rauque au départ devient gémissement.
Il invite à mi parcout l'un de ses hommes à participer aux ébats avec ton approbation... Si tu es encore en état de refuser.

A toi de voir si ça te plaît ou pas Navré c'est crû, c'est du bloodlust, un univers à la Conan.

"tu ne seras pas déçu batard de derigion" se dit-elle.

Elle passe sa jambe gauche au dessus de ses hanches. Et d'un appui puissant de son pied droit, elle fait basculer le derigion qu'elle garde coller en elle pour se retrouver à califourchon sur lui.

Elle lui sourit. De ses deux mains, elle invites deux soldats à les rejoindre.

Venez ça va exciter votre employeur.

Elle invite un des gardes à se mettre derrière elle pour ce qui je crois ne nécessite pas de dessin. Et le second est amené par sa liquette à s'agenouille non loin de la tête de de son commanditaire. Elle enlève sa ceinture abaissant la braie et tout ce qui pourrait entraver l'appendice. Elle le prend en main et commence par le masser délicatement. Puis prend l'objet en bouche pour pomper la substantifique moelle qui s'en écoulera tant la langue provoquera de plaisir.

Note à l'intention des joueurs/Joueuses, les propos ou situations tenus sur cette partie ne sont que le reflet d'un univers durs, violents et conanesques, aussi j'invite ceux qui le liront à ne pas porter de jugement sur les protagonistes de ces textes, cela reste un jeu, rie nqu'un jeu. Les termes un peu envolés ne sont là que pour traduire un univers.

Le soldat a qui tu fais une gatterie après un râle de plaisir, déverse sa jouissance sur le tryptique (98 échec sur son jet de Volonté), le second te besognant le fondement (04) semble résister à son désir et se cale à ton rythme provoquant une vague de chaleur dans ton bas ventre, tandis que le jeune noble profitte de tes dispositions pour prolonger le lancinant va et vient de son sexe contre le tiens (23 sur son jet de Volonté)


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Je te laisse choisir ton option de corps à corps, un échec fais que tu t'abandonnes complètement à la bestialité, un échec critique que tu deviens accro au petit noble, un succès que tu restes consciente et prompt à poursuivre les échanges, bien sûr, plus tu dures plus la prime grimpe. Un succès critique et il t'épouse . C'est une autre arêne. Tu as un bonus de 10% du fait de ta constitution et surtout de ton rôle play. Je vais prendre un verre d'eau glacée moi

(jet 40 une réussite critique)

Laeticia gémit en setant le plaisir du soldat l'innonder. Mais elle n'en démord pas. Il lacheront avant elle. Gardant le rythme, elle lache l'appendice du soldat pour venir embrasser goulument le noble qui est sous elle. De ses doigts, elle viens titiller les tétons du noble par dessus la robe qu'il porte. Elle amène alors sa langue jusqu'au lobe de l'oreille pour émoustiller encore plus ce dernier.

Elle en profite pour lacher un murmure à son oreille : "Vas y baise moi! baise cette chienne qui a tué ce métèque dans l'arène!" Elle pense bien taper juste lorsqu'elle lache le murmure à l'oreille du noble dérigion. Un peu comme si elle jouait le jeu d ela conscience du derigion pour l'amener à subir les assault du bassin de l'hysnaton.

Les mots crus et la hargne avec laquelle tu rejouies ton petit monde on bientôt raison des dernières velléités du garde, lequel lâche prise dans un dernier orgasme. Le jeune noble est comme en transe, ton corps faisant souffler le chaud et le froid, ses yeux enfiévrés ne tardent pas à se révulser, lui aussi part, ses mains s'aggripant, lacérant tes fesses dans une dernière tension. Il te fixe, son regards ailleurs et lâche au marchand.

"Combien pour l'avoir... Combien ! Ton prix sera le mien."

Et reviens vers toi

"Quand à toi ma belle, je t'emmène aux Terrasses Blanches. "

Aux moins j'ai le choix laisse-t-elle tomber.

Elle affiche alors un sourire entre dépit et amusement.

Vous préférez que je vous appèle Maître ou vous avez une préférence pour autre chose?

Elle remet sa tenue en place avant de jeter un dernier coup d'oeil en direction de l'arène.

Vous rachetez mes armes aussi?

Le noble dérigion fait signe à ses hommes de reprendre une tenue réglementaire.

"Bien sûr, tu logeras avec les autres concubines. Mon père sera ravi de voir comment je place son argent, il tiens lui aussi une arène dans ce quartier, mais pour l'heure j'ai mieux à te proposer."

Son regard égrillard cache mal son désir en sexe à 8, qui passe à 10 quand il détaille tes courbes. Tu pressens confusément que la petite scène que tu viens de lui donner n'est pour lui qu'un préliminaire et qu'il n'a pas fini de tester ta résistance et ta largeur d'esprit et...

Tu pars avec lui vers les Terrasses blanches, je te passes les détails architecturaux, mais rien de ce que tu as pu voir jusqu'ici ne vaut le spectacle des bâtisses elfiques et dérigion de l'âge d'or... Rien. Tu es lavée, choyée et besognée par une horde de hourries et le Maître. quand la nuit s'achève ton corps n'est plus qu'un gémissement de plaisir et de fatigue. Le lendemain, un homme entre deux âge, assez beau et bien plus rugueux que le rejeton est dans la grande salle. Son regard se porte sur toi, son fils lui a sans doute parlé de sa dernière acquisition.

Il te fais signe d'approcher.

Laeticia se redresse ressentant la fatigue. Elle se dirige vers l'homme.

Bien le bonjour.

Dans un murmure :

De la viande avariée?

Un regard noir passe sur le visage de la jeune femme.

"Tu vas me le payer espèce de polak faisander!" se dit-elle.

Elle pose sonr egard sur les deux hommes devant elle les observant de sa taille démeusurée.

Bien sûr mon seigneur.

Laeticia s'incline. Elle se prépare à accompagner le derigion.

Un équipement particulier qu'il me faudra?

Bien mon seigneur. Vos désir sont des ordres. Quel est le nom de votre future épouse? Je ne tiens pas à ramener le harem du batard d'Omar Saled en votre demeure...

Une fois qu'il lui a répondu, Laeticia regarde le derigion la laisser seule. Elle ramasse ses quelques effets personnels et se dirige vers le préposer aux finances du sieur Derigion.

J'ai un travail à effectuer pour notre noble maître. Il me faut de quoi partir pour se travail. Je dois aller jusque Durville.

Il me faut un cheval, une armure légère, une bonne arme bien lourde et son fourreau de dos, de la nourriture pour le trajet ou de quoi m'en payer, de quoi louer une cariole bachée.

Elle se gratte la tête.

Il me faut de quoi payer quelques mercenaires également, une dizaine et aussi un laisser pour un chargement d'épice.

Le maître m'as dis Durville. Mais si vous êtes plus au courant que moi de ce qu'il m'as dis alors allons y pour la petite durville. Il me faut dans le groupe de mercenaire un batranoban. Il nous introduira dans la petite Durville sans problème.

Laeticia parle d'un ton monocorde comme si elle ne ressentais aucune émotion pour ce qui se prépare...

Bien

Elle se tourne vers la porte.

Le premier client peut-être?